Le parc

Un écrin de tranquillité à l’abri du monde

EN ENTRANT…

L’entrée du domaine se fait à hauteur d’une barbacane datant de la période Violet-le-Duc. On découvre alors, longeant le mur, sur la droite, l’allée de la « garenne », qui mène jusqu’à l’église du village, et où le promeneur discret peut parfois surprendre lapins, écureuils et chevreuils

AU COEUR DU PARC

En se dirigeant vers le château, toujours à droite, en contre-bas : le jardin et de très vieux arbres, dont un grand marronnier ainsi que trois tilleuls (classés arbres remarquables), aussi anciens que le château, plantés devant les écuries (dont les intérieurs sont à restaurer, on ne visite pas) et l’ancienne maison des gardes (antérieure au château puisqu’elle date de 1350), qui est à présent une demeure privée. Derrière l’imposante porte cochère une plus modeste porte sculptée ouvrant sur l’ancienne ferme (on ne visite pas).

Face à la Seine

Du côté de la Seine, on peut découvrir trois terrasses, dont la seconde est une agréable allée où se mêlent, en saison, le parfum de la lavande et l’audace de plans de vigne grimpants et, dans le prolongement, un jardin fleuri d’iris.

La tempête de 1999

La tempête qui sévit sur toute l’Europe en décembre 1999, balaya d’un seul coup de vent l’allée «cathédrale» qui menait à la grille du château, abattant d’un même élan une partie de la barbacane.
Mais ce bâtiment d’entrée a été restauré, tout comme l’allée a été replantée car dans son obstination à durer, Ételan pourrait emprunter à Plaute : «Contre mauvaise fortune bon cœur» ou à Boileau : «Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage».